Un film de science-fiction spectaculaire, une comédie drôlissime sur le latin, une romance mélancolique avec Guillaume Canet ou un long-métrage sidérant sur Auschwitz… Voici la belle affiche — non exhaustive — du Printemps du cinéma (de ce dimanche 24 au mardi 26 mars, toutes les séances sont à 5 euros dans les établissements y participant).
Plus fort, plus beau, plus grand, plus passionnant que le premier opus : en montant de plusieurs crans par rapport à « Dune », sommet de la culture SF, Denis Villeneuve réussit tous ses paris.
Des élèves sous-doués contraints de se surpasser en un temps record ? Déjà vu, certes. Mais une comédie sur le latin, avec des répliques entières dans cette langue morte, ça, c’est très original. Et souvent irrésistible…
En mettant en scène Mathieu, un comédien célèbre et déprimé (incarné par Guillaume Canet, formidable), Stéphane Brizé signe un film romantique et existentiel, ponctué de quelques notes d’humour.
L’histoire vraie de Nicholas Winton, un Londonien qui a organisé en 1939 une gigantesque opération pour sauver des centaines d’enfants juifs… Un récit bouleversant, magnifié par la puissance d’Anthony Hopkins.
« La Zone d’intérêt » raconte le quotidien de la famille de Rudolf Höss, commandant du camp de concentration d’Auschwitz 1940 à 1944. Un parti pris sidérant pour un film éprouvant, mais immense.
Le réalisateur a eu une idée folle : faire jouer Dali par cinq comédiens (Didier Flamand, Pio Marmaï, Gilles Lellouche, Jonathan Cohen et Édouard Baer). Un film délirant, absurde et savoureux.
Sorte de Ma Dalton moderne, Rachel orchestre des petites arnaques et des vols foireux avec ses fils et son petit-fils… Une comédie policière enlevée et pétillante.
Il y a quatre films dans ce film, ou plutôt quatre histoires sur le même thème : l’argent ne fait pas le bonheur. Cynique, délicieusement noire, cette comédie enchaîne les situations délirantes.
En 1920, dans une petite ville côtière anglaise, la très prude Edith reçoit des missives anonymes… Fantastique traité de grossièretés, « Scandaleusement vôtre » se double d’une chronique sociale bien sentie.
La sérénité de Pierre (William Lebghil), fleuriste qui possède sa propre boutique, vacille lorsque sa mère, l’extravagante Judith (Agnès Jaoui), revient dans sa vie… Une merveille autobiographique douce-amère.
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